
#4 carnets de campagne d’une libraire confinée
Bon on ne va pas se mentir, hein ? Les premiers jours ont été chaotiques, un vrai beau bordel ! Mais ça y’est, nous nous
Bon on ne va pas se mentir, hein ? Les premiers jours ont été chaotiques, un vrai beau bordel ! Mais ça y’est, nous nous
Milan confiné, Paris c’est fait, New York bientôt tout pareil : les conséquences du confinement des capitales de la mode commencent à se faire sentir cruellement
Ce matin je me réveille pleine d’allant : chacun a dormi dans son lit et les enfants ont même fait la grasse mat’ jusqu’à 8h
Pincez-moi, L’AUTRE a ressorti les haltères ! Je pensais qu’il avait oublié l’existence de ces deux machins qui encombrent depuis des années l’un des cartons de
Dimanche dernier, nous faisons nos bagages, tout ce qui sera utile à mon mari actuellement en TAD, l’énorme cartable de notre écolière, les cahiers d’activités,
Non et non, inutile d’insister, je n’ai pas la moindre intention de bouger de ta pile de livres. Ca fait quatre jours que t’es vautré
Lorsque je suis arrivée à Paris, en septembre en tant que bébé libraire, je pensais faire un séjour formateur mais pas un parcours du combattant!
J’entends Coronavirus par-ci par-là depuis plusieurs semaines. Sûrement un gros coup marketing de la Corona, célèbre marque de bière mexicaine, genre vidéos virales qui font
Samedi, 20h, je suis encore dans le métro qui me ramène chez moi lorsque mon patron m’appelle pour m’informer que la librairie étant un commerce
Je voudrais d’abord adresser mes plus plates excuses au lévrier-de-l’immeuble-d’en-face dont j’ai injustement moqué l’intelligence dans ma chronique d’hier. C’était inapproprié. Je viens d’entendre le
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